Seul ou en équipe de deux, les journalistes doivent travailler sur un seul sujet, mais en faire trois remises différentes : un topo (long ou court au choix), un faux-direct et un sourd-extrait. Le précède ou le texte doit être livré que les différentes équipes de production puissent réaliser leur émission plus tard dans la session.
STURBOIS INAUGURATION
TOPO
Julien Sturbois
L’École des Technologies Supérieure à reçu ce matin la visite de François-Philippe Champagne, le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie afin d’inaugurer le Pavillon D qui regroupe les différents clubs étudiants en charge de projets scientifiques et technologiques novateurs. Une occasion toute particulière pour le ministre de partager ses attentes sur le positionnement du Canada dans le secteur des hautes technologies à l’échelle internationale. (insérer topo)
FAUX-DIRECT
Julien Sturbois
Le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, François-Philippe Champagne s’est rendu ce matin au sein de l’École de Technologie Supérieure à Montréal afin d’inaugurer le Pavillon D. L’édifice regroupe les ateliers des clubs étudiants en charge de projets scientifiques et technologiques novateurs. Le ministre en a profité pour féliciter ces étudiants qui prennent part au développement de l’économie canadienne dans le secteur des nouvelles technologies. (insérer faux-direct)
SOURD-EXTRAIT
Le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, François-Philippe Champagne à fait le déplacement (insérer visuel) ce matin afin d’inaugurer le pavillon D de l’École de Technologie Supérieure. D’atelier en atelier, le ministre a pu découvrir les projets novateurs des différents clubs qu’habrite le pavillon. Ces projets qui visent à répondre aux besoins futurs de notre société, se réinventent chaque année afin d’améliorer toujours un peu plus leurs performances et d’avoir un produit fini des plus respectueux possible de l’environnement. Ainsi monsieur Champagne a prit le temps de saluer et de féliciter tous les étudiants présents qui concourent pour la plus part dans des compétitions du monde entier. Une visite soignée qui se conclue par les encouragements du ministre à l’égard des futurs ingénieurs de l’ETS. (insérer extrait)
SAHRAOUI BÉLANGER GARDERIE
TOPO
Maïssem Sahraoui
L’administration Legault a annoncé en 2021 le Grand chantier pour les familles. Un plan pour combler près de 37000 nouvelles places en services de garde. Avec un système de priorisation au niveau des listes d’attente, certains enfants, comme ceux provenant de milieux socio-économique défavorisés ou encore les enfants à besoins particuliers. Un changement majeur dans le domaine de la petite enfance. Un reportage de Maïssem Sahraoui. (insérer topo)
FAUX-DIRECT
Mathieu Bélanger
Le Grand Chantier pour les familles est un plan d’action gouvernemental qui cherche à assurer une place en services de garde à tous les enfants mais aussi à faciliter l’accueil de ceux provenant de famille à moindre revenu et ceux souffrant d’un handicap physique ou mental. La nouvelle réjouit le personnel administratif des CPE, mais surtout les parents. Cependant, des questionnements sont soulevés. Nous retrouvons notre reporter Mathieu Bélanger pour en apprendre plus sur l’impact du plan d’action. (insérer faux-direct)
SOURD-EXTRAIT
Le Grand Chantier pour les familles est un plan d’action gouvernemental qui cherche à assurer une place en services de garde à tous les enfants mais aussi à faciliter l’accueil de ceux provenant de famille à moindre revenu et ceux souffrant d’un handicap physique ou mental. La nouvelle réjouit le personnel administratif des CPE, mais surtout les parents. Cependant, des questionnements sont soulevés. (insérer visuel) Nous écoutons Christine Duquette, coordinatrice du programme « J’me fais une place en garderie », et son avis sur le projet. (insérer extrait)
FONTAINE GRÈVE
TOPO
Paul Fontaine
Des centaines de travailleurs et de travailleuses du milieu communautaire à Montréal ont marché au centre-ville pour dénoncer la crise climatique et les inégalités sociales. L’événement conclut une série de grèves et de manifestations qui se sont déroulées dans différentes villes du Québec durant toute la semaine. Les organismes communautaires soutiennent que les personnes vulnérables qu’ils desservent sont celles qui écopent le plus du réchauffement climatique et des écarts grandissants de richesse. Un reportage de Paul Fontaine. (insérer topo)
FAUX-DIRECT
Paul Fontaine
Des centaines de travailleurs et de travailleuses du milieu communautaire à Montréal ont marché au centre-ville ce midi pour dénoncer la crise climatique et les inégalités sociales. Cet événement conclut une série de grèves et de manifestations qui se sont déroulées durant toute la semaine partout au Québec. Paul Fontaine, vous êtes au Square Victoria où a convergé le cortège de grévistes. Comment s’est déroulé la manifestation, mais surtout quel est le message porté par les organismes communautaires ? (insérer faux-direct)
SOURD-EXTRAIT
Des centaines de travailleurs et de travailleuses du milieu communautaire à Montréal (insérer visuel) ont marché ce midi entre les stations de métro Place d’Armes et Square Victoria. Les manifestants demandent que le gouvernement et, surtout, les institutions financières en fassent davantage pour lutter contre la crise climatique et les inégalités sociales. Les organismes communautaires soutiennent que les personnes vulnérables qu’ils desservent sont celles qui écopent le plus des changements climatiques et des écarts grandissants de richesse. La manifestation s’est déroulée dans l’ordre, aucun débordement n’a été observé. Quelques manifestants ont tout de même pénétré dans le Centre de commerce mondial de Montréal pour y chanter des slogans et déployer des bannières. Les marcheurs ayant bravé le froid jusqu’au bout ont été accueilli par un réconfortant potage de carottes. (insérer extrait)
BOYER BRIERE CAFÉTÉRIA
TOPO
Alexia Boyer
Le 28 mars prochain, la Ville de Montréal fait entrer en vigueur un règlement qui interdit les articles en plastique destinés à être utilisés une seule fois ou pour une courte période de temps avant d’être jetés ou recyclés, tels que les ustensiles en plastique. Cette nouvelle réglementation impose des changements majeurs pour l’industrie de la restauration. Certains établissements n’ont pas attendu la date limite pour effectuer la transition vers des solutions plus écologiques. C’est notamment le cas de l’Université de Montréal, qui prend un virage zéro déchet. Voici Alexia Boyer. (insérer topo)
FAUX-DIRECT
Antoine Brière
Face à la crise écologique, de plus en plus de secteurs prennent conscience de la pollution produite par leurs activités. Le milieu de la restauration est particulièrement concerné, avec la vente de plats et de boissons à emporter qui génèrent beaucoup de déchets. Parmi ceux qui cherchent des solutions plus durables, la cafétéria de l’Université de Montréal vient de prendre un virage zéro-déchet avec la fin des contenants et des ustensiles jetables. Notre reporter Antoine Brière est sur place. (insérer faux-direct)
SOURD-EXTRAIT
Le 28 mars prochain, la Ville de Montréal fait entrer en vigueur un règlement qui interdit les articles en plastique destinés à être utilisés une seule fois ou pour une courte période de temps avant d’être jetés ou recyclés. Le milieu de la restauration est particulièrement concerné, et certains n’ont pas attendu pour expérimenter de nouvelles solutions (insérer visuel) C’est notamment le cas de l’Université de Montréal, qui effectue un virage écologique depuis le 6 février dernier, avec la fin de tous les contenants et ustensiles jetables. Les clients et clientes qui prennent leur repas sur place ont désormais droit à de la vaisselle et à des ustensiles lavables, et celles et ceux qui achètent à emporter dans un des points de restauration du campus bénéficient de contenants à emprunter avec un système de consigne. La transition vers ce système exige un temps d’adaptation pour les étudiants et étudiantes, notamment via le téléchargement d’une application qui permet d’emprunter des tasses et des boites en plastique à l’aide d’un code QR. Le directeur de la restauration de l’Université de Montréal, Pascal Prouteau, est conscient des enjeux que soulèvent ces changements. (insérer extrait)
ROBERGE OUCHENE POURBOIRE
TOPO
Samuel Roberge
La culture du pourboire est très présente au Québec, mais il arrive de se demander quels sont les endroits où l’on doit en laisser. La majorité des Québécois sont habitués de voir ces propositions de pourboire sur les terminaux lorsqu’ils vont au restaurant. Cependant, depuis le début de la pandémie, les commerces qui offrent ces options de pourboire sur leurs machines Interac se sont multipliés. Notre reporter Samuel Roberge a visité quelques-uns de ces lieux pour nous dévoiler cette nouvelle normalité. (Insérer topo)
FAUX-DIRECT
Rayane Ouchene
À la suite de la fermeture des salles à manger lors de la pandémie, plusieurs restaurants ont offert à leur clientèle des options de plats à emporter. Pour soutenir l’industrie, plusieurs clients donnaient toujours du pourboire malgré qu’ils n’obtenaient pas de service au table. Voyant cette nouvelle habitude, certains commerces offrant des services au comptoir ont rapidement emboîté le pas. Rayane Ouchene s’est rendu à Première Moisson au Marché Jean-Talon pour nous montrer les effets de cette nouvelle coutume. (Insérer faux-direct)
SOURD-EXTRAIT
Depuis le début de la pandémie et la fermeture des salles à manger, la proposition de pourboire sur les machines Interac est devenue de plus en plus fréquente. (Insérer la moitié du visuel) Certains commerces comme les boulangeries et les poissonneries disposent maintenant de cette option de pourboire lorsqu’on fait ses achats. L’idée que le pourboire se limite à un service offert aux tables a peu à peu évolué. (Insérer extrait) L’habitude de donner du pourboire lorsqu’on ramasse une commande ou lorsqu’on reçoit un service au comptoir n’est toujours pas standardisée. (Insérer la suite du visuel) On peut aussi se demander quels sont les autres types de commerces qui s’empresseront d’emboiter le pas. Pour l’instant, les employés qui travaillent avec une machine Interac offrant automatiquement ces options de pourboire, peuvent se réjouir d’obtenir un salaire plus convenable.
PINAULT ROY LOI
TOPO
Alexandrine Roy
Une nouvelle loi fédérale a vu le jour le 1er janvier 2023. En effet, le gouvernement libéral de Justin Trudeau a établi une loi interdisant les non-résidents canadiens d’acheter une résidence. Cette mesure a été créée pour favoriser l’accès à la propriété aux Canadiens, en raison du marché immobilier difficile dans certaines régions du pays. Cependant, elle ne fait pas l’unanimité chez certains experts et résidents temporaires. Une situation que notre journaliste, Alexandrine Roy, démontre dans son reportage. Nous vous le montrons à l’instant. (insérer topo)
FAUX-DIRECT
Agathe Pinault
Depuis début janvier, une nouvelle loi fédérale a vu le jour dans le monde de l’immobilier. Désormais, les non-résidents canadiens ne peuvent plus acheter d’immeubles résidentiels, composés de quatre logements ou moins. Notre journaliste, Agathe Pinault, nous décrypte la situation. Pouvez-vous nous en dire davantage sur les répercussions qu’a cette loi ? (insérer faux-direct)
SOURD-EXTRAIT
Une nouvelle loi fédérale a vu le jour le 1er janvier 2023. En effet, le gouvernement libéral de Justin Trudeau a établi une loi interdisant les non-résidents canadiens d’acheter une résidence. Cette mesure a été créée pour favoriser l’accès à la propriété aux Canadiens, en raison du marché immobilier difficile dans certaines régions du pays. Cette loi engendre des conséquences négatives chez plusieurs résidents temporaires et ne semble pas cibler les bonnes personnes. (insérer visuel) Une situation que dénonce le courtier hypothécaire, Vincent Le Saux, président de la compagne Hypotheques.ca. Il déplore que cette mesure est mal-adaptée et n’améliora pas la situation. (insérer extrait)